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PRESSE

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"Le jeune trio français nous bluffe. Par le choix de son programme mitteleuropa et un sens aigu du dialogue qui nous va droit au coeur. Contagieux."

Diapason, Juin 2014

"La perfection du trio.

Le trio Atanassov a donné samedi au Koïfhus, à l’heure de l’apéritif méridien, un concert dont chaque note avait quelque magie, à peu de distance du plaisir total."

Dernières Nouvelles d’Alsace, juillet 2016

Festival International de Colmar

Seul le trio Atanassov fut en mesure de saisir convenablement le style et l’esprit des trois œuvres fondamentalement différentes (le trio de Mozart en mi majeur KV 542, le trio de Schumann n°3 en sol mineur et 3 pièces d’Episodi e Canto Perpetuo de Vasks) et de les mener jusqu’à leur terme sans les dénaturer.

Version originale :

Allein das aus Frankreich kommende Trio Atanassov (Perceval Gilles, Vl; Sarah Sultan, Vc; Pierre-Kaloyan Atanassov, Kl) war in der Lage, Stil und Geist der drei grundverschiedenen Werke (Mozarts Trio E-Dur KV 542, Schumanns Trio Nr. 3 g-Moll, Vasks 3 Stücke aus Episodi e Canto perpetuo) in angemessener Weise zu erfassenund unversehrt ins Ziel zu bringen.

Ensemble Magazin, Robert Nemecek, novembre 2010 (sur le concours de Francfort)

"Une interprétation toujours maîtrisée et une technique sûre à tous points de vue. (...) Le trio Atanassov sut développer une très fine palette de nuances au sein d’un cadre de dynamiques resserré, et ce avec une subtilité particulière dans les nuances piano."

Frankfurter Allgemeine Zeitung 2010

"The Paris-based Trio Atanassov won audience kudos for a jagged, jazzy rendition of a piece by Fazil Say, and poignant exchanges between the group’s string players were purposefully understated to convey the vivid harmonies in the Ravel Trio."

The Strad Magazine, 2013.

"La marque de fabrique, si l'on nous autorise la formule, tient précisément à la capacité des musiciens à nous transporter d'un climat à un autre, de restituer la couleur spécifique de l'œuvre, d'approcher le langage du compositeur. Ici l'équilibre et l'élégance, là la rêverie et l'exotisme, la fougue enfin du romantisme le plus exacerbé, le plus noir."

La Dépêche du Midi, juillet 2015

Festival de Radio-France Montpellier-Languedoc-Roussillon

"Du talent, un enthousiasme et une connivence hors du commun."

Le Journal de Saône-et-Loire, août 2008

L’interprétation est enlevée, tranchée, et d’une douceur touchante [trio de Mozart]. (...) Les trois jouent avec brio, faisant preuve d’une présence où ils semblent en tout instant prêts à bondir [trio de Dvorak].

Version originale :

« Beherzt und wie auf dem Sprung präsent » (titre de l’article) Und so wird es auch flott, markant und fast rührend zart musiziert. (…) Da musizieren die Drei wiederum beherzt und wie auf dem Sprung präsent.

Frankfurter Neue Presse, 14 mai 2011

Alte Oper, Frankfurt

The Trio Atanassov is an exciting new presence on the chamber music scene. This pair of Czech trios shows why: they are interpretively fresh, passionate, and accurate. (…) The Trio Atanassov delivers the kind of relaxed precision that makes for an optimal performance of these enchanting little tunes [Dvorak].

All Music, James Manheim

"Le jeune trio français nous bluffe. Par le choix de son programme mitteleuropa et un sens aigu du dialogue qui nous va droit au cœur. Contagieux.

Premier disque très abouti pour la séduisante formation française.

Constitué en 2007 par des musiciens frais émoulus du Conservatoire de Paris, le Trio Atanassov, bardé de récompenses glanées dans les plus prestigieux concours internationaux, impressionne par sa maturité et sa plastique. (…)

Grâce à un sens surdéveloppé du dialogue, ils nous invitent à entrer dans l’intimité de la partition et trouvent bien des occasions de faire vibrer notre corde sensible. Sûrs de leur technique et de la conduite de chaque phrase, ils donnent une ampleur noble au pathos des deux pages. Leur science de la dynamique, avec ses grands (de)crescendos sereinement menés, ses contrastes soudains et ses détails soignés participe à la construction de formes que l’on imagine difficilement plus cohérentes.

On admire partout la justesse de la respiration et des tempos, dont les variations ne portent nullement atteinte à la ligne, fluide, du discours. L’oreille suit donc sans effort le fil de la narration, même dans le vaste Allegro ma non troppo de l’Opus 65 dvorakien.

Le souffle dramatique commun aux premiers mouvements de ces trios ne retombe jamais."

Diapason, Nicolas Derny (juin 2014)

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